N°888(acrylique sur papier a3)
N°888(acrylique sur papier a3)
Elle ce que je n'avais pas
Elle ce que je ne savais pas ;
prise dans son chemin
ne rencontrait le mien
des antres tiens
jour nuit jour nuie
les soleils obsolescents ..
adolescents
à ceux ,morts
mes amis !
j'arrive
j'ai dormi hier,
je dors sommaire
d'un livre si ,me tiers
l'un ou l'autre frère
quant la beauté accroche un oeil
les cris terre sans seuils
les délivrances indéfinies
du laid ,lui s'éveille
les ruines d'un monde
eussent un marteau pour true elle ,
une vérité de briques sans maison ?
les allées a sans raison
c'est par le préempteur éducatif
que germe l'enfant inoffensif ,
or c'est par le rédempteur ,palliatif
que gerbe l'enfant subversif ...
planter un chaîne
la petite fille de marbre
croustillait gauffrette à joues ,
le festin des fous
une poignée de clous ,
et les années accouchèrent d'un arbre ...
à toutes ces ouates silencieuces
aux tomberelles tombeau
surmonté d'une statue sans héraut
plus tu ,te perds plus tu cherches
plus tu trouves, plus tu ,te cherche ,
supprimer tu ci-verset deux perchent ?
une vie Poleuse
l'ange du diable avait ces ailes
le diable de l'ange ses elles ,
une colombe fardée ,
déplume
-qui es tu devenu ?
de ces là-bas différés
de ces ici inférés
toi l'enfant réifié
qu'un adulte parvenu
mourrant de venue
l'emploi du printemps
embrassait une saison
l'y vers une toison
quand l'été ,un poison
d'un hôte homme ,
l'emploi du non temps
avait probablement d'autres conclusions ;
il pleut
une liste de plaidoiries
ploie plus qu'elle ne rie ,
une liste de joaillerie
voit plus qu'elle ne dit ,
une liste sans liste
avait même son colistier
l'original un assemblage des morceaux du chacun
le chacun ,souvent celui d'un autre ...
cet autre le m'aime que l'original