je me souviens d'un tant
d'un autre d'aiguilles
franchit ,fourmillent
d'aujourdhuire ..
Et ce temps sans temps
qu'est-il devenu ?
je me souviens d'un tant
d'un autre d'aiguilles
franchit ,fourmillent
d'aujourdhuire ..
Et ce temps sans temps
qu'est-il devenu ?
absent dans le travers
économe à l'envers ,
la tranche victorieuse
n'avait pas d'envieux(se) ,
mais l'opération du doute à peine levée
apprécierait le curieux(se) ,
le doute n'avait pas d'opération
quand la certitude son calcul ,
une sardine à Marseille
l'entretien directeur abandonne laisse
quant directeur d'entre tient la tresse ,
un étal défaillant de lui
de fruits absents plaintifs clients
l'esclave saillant choisi le pique du tri dans ,
l'a politique
de gras maquillages apostolique
d'un bide tendu ,
la main vide du monde libre
avait bien quelques phalanges ,
des drones mentaux pour te tenir chaud
de douillets hivers comme rafraichissant l'été ;
puissions pouvoir , n'amène la main nul part
des en droit ou la poupée agitée
enclave la vision précipité
en chimie ,molécule l'abstrait ...
tableau noir
je n'ai plus de craie
l' amour légionnaire au combat ne va guerre
le fusil du plat thon que j'lui avait chier dedans ,
en litote ,
Socrade silencieux avait trancher le lien
des erre sans menottes ,
une amphore
l'insencé n'avait pas plus de vain
que l'un sens et devint
un inter-mite ans ,
des ptis trous partout
les champs vl'a l'heureux meurent
comme les sourds lointain , voisin
apprivoisé des leurs
leur nez ,leur bière ,leur merde... leur leur
des musiciens d'eau pâle
jouant de la pierre
agrégeaient des valeurs ,
les maux mors ressuciteraient ?
les mormots d'enfant turbulents ,
les chiants valeureux fussent toujours ;
un lâche a dit
l'isolation mentale objecterai son barreau
par la clé cinglée d'écueils cérébraux
jardinai dans mon terre un
plein d'autres
sans humains
l'isolant mental subjectiverai son barreau
par là ,clef singlée dès ceuille cérébraux
jardinai d'en mont terrain
pl'un d'autres
sans humain
après défection
panse léger
afficher sa vertèbre pour mieux habillé le cou
dénuder l' air
comme un accès aux chairs ;
lévite le pouls
aux yeux
je te condamne ,toi !
celui qui instruit lui ,
il ;le portrait inauguré
qu'un soi défiguré
le bidet de ma vie avait le cul sale ,
par propreté torcher l'osier ,
le lèvrier moche déplumé
articulait son os fumé
dans ton évier ;
déboucher les poils
d'un bourrin bien pâle
quand l'entre tien a deux personnes
les pentes crampantes sont en descentes ,
des montées qui raisonnent
j'avais mon sac ,d'image vers
lourde comme une gourde ,
une de c'est piole sévère
ou dégourdis le lien
cet arbre naufragé des appairs
racine mordue de chien
reniflait le sien
Nº0111011(acrylique sur toile 61X50cm)
Nº0111011(acrylique sur toile 61X50cm)
Nº0111011(acrylique sur toile 61X50cm) - Copie (2)