afficher sa vertèbre pour mieux habillé le cou
dénuder l' air
comme un accès aux chairs ;
lévite le pouls
aux yeux
afficher sa vertèbre pour mieux habillé le cou
dénuder l' air
comme un accès aux chairs ;
lévite le pouls
aux yeux
je te condamne ,toi !
celui qui instruit lui ,
il ;le portrait inauguré
qu'un soi défiguré
le bidet de ma vie avait le cul sale ,
par propreté torcher l'osier ,
le lèvrier moche déplumé
articulait son os fumé
dans ton évier ;
déboucher les poils
d'un bourrin bien pâle
quand l'entre tien a deux personnes
les pentes crampantes sont en descentes ,
des montées qui raisonnent
j'avais mon sac ,d'image vers
lourde comme une gourde ,
une de c'est piole sévère
ou dégourdis le lien
cet arbre naufragé des appairs
racine mordue de chien
reniflait le sien